Le premier ministre Justin Trudeau a récemment annoncé une réduction significative des cibles d’immigration du Canada, visant 395 000 nouveaux résidents permanents en 2025. Une baisse marquée par rapport aux 500 000 initialement prévus.
Cette décision, qu’il décrit comme un « ajustement de tir », a pour objectif de permettre au pays de rattraper les retards dans les infrastructures essentielles, notamment dans les secteurs du logement et des soins de santé.
Alors que cette annonce a provoqué des réactions variées sur la scène politique et économique, deux voix influentes dans le domaine de l’immigration, Emmanuelle Deault Bonin, directrice générale de la politique stratégiques et horizontales au ministère fédéral de l’immigration, refugies et citoyenneté, et Laurence Mouilla Vertueux, consultante réglementée en immigration canadienne (CRIC-CISR) et fondatrice de Movela Immigration Services Inc., partagent leurs perspectives sur les implications de cette réduction.