L’inflation et la hausse du coût de la vie nuisent à la santé nutritionnelle des Néo-Brunswickois. Incapables de respecter leur budget, les familles doivent faire des choix déchirants et laisser de côté des aliments plus sains.
La population de Moncton, déjà durement éprouvée par la forte hausse des loyers, a la vie dure. Les banques alimentaires sont de plus en plus sollicitées. Les organismes peinent à satisfaire la demande. Les fêtes de fin d’année, l’an dernier, ont été particulièrement difficiles.
On en parle à Carole Tranchant, professeure de nutrition à l’Université de Moncton.