Dans les rues de Toronto, on a pu observer l’émergence d’affiches promouvant le Centre Nia pour les Arts, dont la volonté est d’accompagner les artistes, émergents ou non, issue de la diaspora africaine. L’ouverture du nouveau lieu a impulsé cette campagne afin de s’ouvrir à un plus grand nombre.
Pour la communauté artistique, cet espace de création et d’exposition est nécessaire et devrait même être multiplié dans la ville. Nia veut dire langue swahilie « vocation », « objectif », selon Alica Hall, curatrice et directrice exécutive du Centre depuis 5 ans.
Reportage de Marine Ottogalli.