Notre journaliste Raphaëlle Ainsley-Vincent étant originaire de Montréal, sa prononciation du nom de « Tête-à-la-Baleine » détonnait lors de son arrivée au village avec la prononciation locale, qu’elle a tenté d’adopter depuis. Partant de cette expérience, elle a eu envie d’explorer les origines du parler et de certaines expressions en usage à Tête-à-la-Baleine.
Écoutez cette chronique linguistique réalisée avec la participation de Philippe Leblond, chargé de cours au département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal, qu’elle a contacté pour discuter de ces variations régionales du français, afin de retracer l’origine – et le voyagement – de ces manières de prononcer qui colorent nos parlers sur le territoire.