Le conseil municipal de Louiseville souhaite revoir sa participation au sein du parc industriel régional de la MRC de Maskinongé.
Le préfet de la MRC de Maskinongé, Paul Carbonneau, estime qu’il est possible de trouver un terrain d’entente concernant des iniquités soulevées par le premier magistrat de Louiseville, Yvon Deshaies.
Simon Piotte fera la course à l’investiture de Québec solidaire dans Maskinongé lors des prochaines élections provinciales qui auront lieu à l’automne 2026.
Rappelons que le résident de Charrette, municipalité située au centre de la MRC de Maskinongé en Mauricie, a été candidat de Québec solidaire dans la circonscription de Maskinongé lors des élections générales du Québec en 2018 et en 2022.
Les élections ont été remportées ces deux fois par Simon Allaire, actuellement député de Maskinongé.
La MRC de Maskinongé dépensera 14,73 M$ pour boucler son budget en 2025, soit 3,4 % de plus qu’en 2024.
Pour équilibrer son budget déposé vendredi dernier, la MRC a tiré un montant de 238 000 $ dans ses surplus accumulés, afin de réduire l’impact de cette hausse pour les municipalités locales. Certaines verront même leurs quotes-parts diminuer.
Plus de 300 élèves des écoles secondaires de Maskinongé ont eu la chance d’échanger avec des conférenciers émérites dans le cadre de la Semaine entrepreneurs à leur école.
Organisé par le Carrefour Jeunesse-emploi de la MRC de Maskinongé, l’événement s’inscrit dans une vaste tournée de sensibilisation entrepreneuriale. Neuf entrepreneurs sont allés parler de leur vécu et des défis auxquels ils font face.
Le Carrefour jeunesse-emploi MRC de Maskinongé est une porte d’entrée pour les personnes âgées entre 15 et 35 ans, qui souhaitent bénéficier de conseils judicieux pour optimiser leur recherche d’emploi, leur orientation scolaire et professionnelle.
Les municipalités de la MRC de Maskinongé ajustent leurs flutes en prévision du dépôt de leurs prochains budgets annuels. Mais de nouvelles charges vont les forcer à sacrifier certains des projets qu’elles convoitent.
C’est que les frais liés aux services rendus par la Sûreté du Québec ont bondi de 5 à 20 %. Des frais qui exercent une pression budgétaire considérable sur les municipalités. C’est le cas à Saint-Élie-de-Caxton, en Mauricie.
