La communauté maghrébine a vécu un autre drame le 26 mars dernier. Deux jeunes âgés de 14 et 16 ans, recrutés dans leurs écoles et armés par des gangs criminalisés, ont perdu la vie après des incidents armés dans la métropole.
Les parents absents dans l’équation vivent leur peur dans un décalage numérique. La communauté maghrébine martèle qu’il ne s’agit pas d’un problème culturel, mais bien d’un problème de société.
Mourad Mahamli, a rencontré Mohamed Noredine Mimoun, coordonnateur et agent de mobilisation au Forum jeunesse de Saint-Michel, pour analyser le phénomène.