C’est à la fin février que le gouvernement Trudeau déposait son projet de loi tant attendu sur les préjudices en ligne.
Le projet vise à protéger la population, surtout les enfants, face aux divers dangers en ligne. Les plateformes telles que Facebook, TikTok et autres, devront retirer l’accès à certains contenus et démontrer leur aptitude à assurer la sécurité du public.
Une commission à la sécurité numérique sera aussi mise en place, rapportait Radio-Canada. On prévoit aussi ajouter au Code criminel des infractions liées à des crimes haineux et à l’appel au génocide, pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement.
Est-ce que ceci est un pas dans la bonne direction pour contrer la radicalisation et la haine sur le web ? Nous en discutons avec Martin Geoffroy, sociologue et fondateur du Centre d’expertise et de formation sur les intégrismes religieux, les idéologies politiques et la radicalisation.