Lors de son passage à l’Assemblée législative à Fredericton, la commissaire aux langues officielles, Shirley Maclean, a fait valoir un manque à combler dans l’application de la loi sur les langues officielles du Nouveau-Brunswick.
En effet, selon elle, son commissariat n’a pas les outils nécessaires pour permettre un meilleur suivi de ses recommandations, qui irait plus loin que son rapport initial. On empruntait alors une expression du député Kevin Arseneau pour décrire le pouvoir opérationnel du commissariat comme ayant un manque de « mordant », n’ayant pas le pouvoir d’enquêter sur des situations après les avoir décelées.
Nous en parlons en entretien avec la commissaire.