Les parents d’enfants francophones sont sur le pont en Ontario. Un amendement vient d’être ajouté au projet de loi fédéral C-35, sur l’apprentissage et la garde des jeunes enfants. Il doit permettre de défendre le financement des services de garde francophones en milieu minoritaire à travers le pays.
Un système de lettres automatisées a été transmis aux parents, leur demandant de solliciter leurs parlementaires pour qu’ils s’assurent que le financement soit sécurisé, assurant ainsi la protection « de la porte d’entrée » de l’identité francophone, estiment les organismes communautaires.
Fabien Hebert, président de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario et Martine St-Onge, présidente de l’Association francophone à l’éducation des services à l’enfance en Ontario, nous parlent des enjeux d’un tel financement.